Vu et entendu sur l’écran, à l’hôpital, le jour de la sortie de l’album posthume de Jean-Philippe Smet : « C’est comme si je perdais mon père ».
J’aimerais comprendre, l’homme étant décédé depuis presque un an, cette bonne femme parlait-elle du chagrin qui l’accable depuis tout ce temps ou bien de l’effet que lui a fait l’écoute des chansons ?
Évidemment, les américons ont réagi à la mort du chanteur ; comme pour Charles Aznavour qu’ils avaient affublé d’un surnom à la con ramenant cette disparition à leur culture égocentrique ; en appelant J. P Smet « The french Elvis » !
Traiter un belge de français, c’est un peu l’insulter, non ?
Comparer ces deux baudruches, c’est un peu les tuer une seconde fois, non ?

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